Biography of George Wilhelm Hanover Duke Brunswick-Lüneburg 1624-1705

On 12th November 1665 George Wilhelm Hanover Duke Brunswick-Lüneburg (age 41) and [his future wife] Eleonore Esmier D'Olbreuse Duchess Brunswick-Lüneburg were married, or undertook a marriage of sorts, often referred to as morganatic i.e. informal, below his station.

Une mésalliance dans la maison de Brunswick, 1665-1725: Éléonore Desmier d'Olbreuze, duchesse de Zell:

Pages 44-There, George William made a final attempt. He offered Éléonore a special commitment, one that would seal their union in a lasting way, proving his affection and removing any sense of humiliation in her situation. He promised to live with Éléonore always, assuring her an honorable position at his court and a dower should he predecease her. He even pledged to convince his brother and sister-in-law to co-sign the agreement, formalizing his commitment.

This document, in which the Bishop of Osnabrück and Duchess Sophie vouched for Duke George William's constancy, was the only assurance given to Éléonore. On November 12, 1665, the Duchess wrote to Elector Charles Louis: "The marriage of conscience between Duke George William and Olbreuze is public, although the consummation was done quietly, without candles or witnesses."

All historical works printed in the last century, or during the time of George William, place the "marriage" of the Duke in the year 1665 and refer to Éléonore as his wife from that point onward. However, in reality, no formal ceremony took place. The only official document was a ducal order dated November 15, 1665, guaranteeing Éléonore a dowry in the form of an annual income of five thousand écus, should George William predecease her.

L'enterrement du duc Christian-Louis devait se faire à Zell, le 11 novembre 1665. Toute la cour de l'évêque d'Osnabruck s'y rendit, mademoiselle d'Olbreuze voyageant avec les filles d'honneur de la duchesse Sophie. Là, Georges-Guillaume tenta un dernier effort. Il offrit à Éléonore de faire en sa faveur un acte d'un caractère tout spécial, et qui, scellant leur union d'une façon durable, prouverait l'affection qu'il lui portait et ôterait à la défaite de celle qu'il aimait ce qu'elle pouvait avoir d'humiliant. Il promettait de vivre toujours avec Eléonore, lui assurant une situation honorable à sa cour et un douaire s'il mourait avant elle. Il se faisait fort de décider son frère et sa belle-sœur à signer avec lui l'acte dans lequel il prendrait cet engagement (I).

Cet écrit, dans lequel l'évêque d'Osnabruck et la duchesse Sophie se portaient garants de la constance du duc Georges-Guillaume, fut la seule assurance donnée à Eléonore. Le 12 novembre 1665, la duchesse écrivait à l'électeur Charles-Louis: "Le mariage de conscience entre le duc Georges-Guillaume et l'Olbreuze est public, quoique la consommation a esté faite à la sourdine sans chandelles ny tesmoins".

Tous les ouvrages historiques imprimés au siècle dernier, ou à l'époque de Georges-Guillaume, placent à l'année 1665 le "mariage" du duc et appellent dès lors Eléonore sa femme . Pourtant, de fait, aucune cérémonie n'eut lieu. Le seul acte officiel fut un ordre ducal daté du 15 novembre 1665 et assurant comme douaire à Éléonore, en cas de prédécès de Georges-Guillaume, une rente de cinq mille écus.